L’amas de galaxies Hydra

Il était une fois un minuit lugubre, alors que je méditais, faible et fatigué, sur des volumes d’astronomie et de traditions oubliées, je suis tombé sur cet instantané, cosmique et étrange, une vue qui a rempli mon cœur de crainte et plus encore.Deux étoiles, telles des sentinelles, ancrent l’avant-plan de notre Voie lactée, un spectacle à voir, Au-delà d’elles, un amas d’Hydra, les galaxies abondent, à 100 millions d’années-lumière, une histoire à raconter. Trois grandes galaxies, elliptiques et une spirale bleue, dominent et sont grandes, chacune d’une largeur de 150 000 années-lumière, Mais c’est la paire qui se chevauche qui a attiré mon attention, cataloguée comme NGC 3314, un spectacle que je ne peux pas cacher.Abell 1060, le nom de l’amas de galaxies Hydra, l’un des trois grands amas de galaxies proches de notre Voie lactée, un univers lié par la gravité, un jeu céleste, où les amas s’alignent sur de plus grandes échelles, je ne peux pas balancer. A une distance de 100 millions d’années-lumière, la taille de cet instantané, 1,3 millions d’années-lumière de diamètre, un délice cosmique, un aperçu momentané dans l’apparence de l’univers, mais même cela s’estompera, et ne sera plus jamais en vue.